L’art de vivre et autres nouvelles

Il y a bientôt un an, j’ai abordé ici un autre livre de cette collection qui regroupe des petits textes issus de la culture française et européenne en bilingue français-chinois, à destination des apprenants sinophones du français

Du coup, comme j’ai déjà parlé d’un autre livre de cette collection, je vais un peu vous dire quelles sont les ressemblances et les différences entre ces deux livres. Premièrement, on va pas se le cacher, ce livre est très proche du précédent : on a le même travail sur la pagination, les mêmes petits dessins, et c’est globalement le même type de textes que dans l’autre. La couverture est différente, au moins.

Durant ma lecture de ce livre, j’ai vraiment eu l’impression de lire un peu les mêmes histoires que dans l’autre. Et c’est d’ailleurs un peu le cas, les deux tomes vont regrouper un peu tout type d’histoires et de textes, sans regarder à quel genre ils appartiennent. On va par exemple avoir un extrait d’un livre dans un de ces deux tomes, et un autre extrait du même livre dans l’autre. Je ne sais pas s’il aurait fallu regrouper par type de texte en fonction des tomes, mais là, ça donne juste l’impression d’un amalgame sans queue ni tête.

Le problème des livres en bilingue, c’est que lorsque je suis trop intéressé par ce que je lis, je me tourne tôt ou tard vers la facilité, pour pouvoir avancer dans l’histoire. L’avantage de ce bouquin, c’est que je n’ai pas trouvé les histoires suffisamment intéressantes pour être attiré par cette facilité, et j’ai pu garder ce livre en tant que qu’outil pour améliorer mon chinois.

Donc au final, tout n’est pas négatif, le fait de pouvoir travailler un peu le chinois grâce à ce livre a pu un peu m’apporter, mais en réalité, c’est le seul intérêt que je vois à ce livre, les histoires qui y sont racontées n’étant pas particulièrement intéressantes.